La perte du navire russe, un “coup dur” selon le Pentagone

De son côté, le Pentagone a qualifié le naufrage en mer Noire de “coup dur”. “Cela aura un impact sur leurs” capacités de combat, car le navire était “un élément clé dans leurs efforts pour consolider la domination navale en mer Noire””, a déclaré le porte-parole américain John Kirby à CNN. Quant au président ukrainien, Volodymyr Zelensky, il a ramené le spot chez lui. Dans sa vidéo rituelle de l’après-midi, il a fait référence à ses hommes, les appelant “ceux qui ont montré que les navires russes ne peuvent aller que par le fond”. Une perte hautement symbolique puisque c’est la première fois depuis la guerre des Malouines entre le Royaume-Uni et l’Argentine qu’un navire de guerre coule, rapporte Le Monde.

Retour de l’Ambassade de France à Kiev

L’ambassade de France en Ukraine, qui a été délocalisée à Lviv (ouest) début mars, va retourner dans la capitale, Kiev, a indiqué la diplomatie française.

Londres ratifie deux oligarques russes

Le Royaume-Uni a imposé des sanctions à deux oligarques se faisant passer pour des proches du propriétaire de Chelsea, Roman Abramovich. Il s’agit d’Eugene Tenenbaum et de David Davidovic. Ces sanctions font partie des mesures britanniques en représailles à l’invasion russe de l’Ukraine, selon le ministère britannique des Affaires étrangères.

Nouvel échange de prisonniers russes et ukrainiens

Trente Ukrainiens ont été libérés dans le cadre d’un nouvel échange de détenus avec la Russie, a annoncé Kiev. Il s’agit du “quatrième échange de prisonniers”, a déclaré la vice-Première ministre ukrainienne Iryna Vereshchuk au Telegram, sans donner plus de détails sur le nombre de Russes échangés avec les Ukrainiens.

Le gouverneur russe accuse l’Ukraine d’avoir bombardé un village

Le gouverneur d’une région russe frontalière de l’Ukraine a accusé les forces de Kiev d’avoir bombardé jeudi deux villages russes, dont un par hélicoptère, faisant des victimes. Une version démentie par l’Ukraine, qui a accusé Moscou de planifier des “attentats terroristes” dans la zone frontalière pour provoquer “l’hystérie anti-ukrainienne”.