• À lire aussi : Son rêve de devenir restaurant a été ruiné par la pandémie • A lire aussi : Ce couple a été contraint à la retraite après 46 ans de gestion de la restauration • À lire aussi : COVID-19 : les hôpitaux de l’Outaouais suspendent les visites De nombreux experts de la santé sont de plus en plus préoccupés par la lenteur de la livraison de la troisième dose, ou dose de rappel, à travers le pays, a rapporté vendredi le Globe and Mail. Les deux premières doses du vaccin COVID-19 ne fourniront pas une protection adéquate à long terme contre la variante Omicron. Selon le Service de santé publique du Canada, seulement 47 % de la population et 57 % des personnes âgées de 18 ans et plus ont reçu le vaccin de rappel jusqu’à présent. Un volume croissant de recherches montre que trois doses de vaccin sont nécessaires pour fournir une protection adéquate contre Omicron. Cette semaine, Santé Canada a signalé que près de 1,5 million de vaccins contre la COVID-19 sont périmés depuis janvier, ce qui indique que la consommation de vaccins a considérablement diminué. La question des doses de rappel est cruciale car la variante prédominante d’Omicron peut échapper à l’effet protecteur de deux doses de vaccins à ARN messager disponibles, en particulier chez les individus les plus vulnérables. Bien que les troisième et quatrième doses, ou doses de rappel, n’empêchent pas toujours les personnes d’être infectées, elles fonctionnent bien pour prévenir l’hospitalisation et la mort. Aux États-Unis, une étude publiée dans le British Medical Journal en mars a révélé que deux doses d’un vaccin à ARNm n’étaient efficaces qu’à 65 % pour prévenir les maladies liées à l’Omicron chez les personnes de 18 ans et plus. Pour ceux qui ont reçu trois doses, l’efficacité de la prévention hospitalière est passée à 86 %.


title: “Covid 19 Moins D Un Canadien Sur Deux A Re U Sa Dose De Rappel " ShowToc: true date: “2022-10-25” author: “Michael Oatman”


• A lire aussi : Ce couple a été contraint à la retraite après 46 ans de gestion de la restauration • À lire aussi : COVID-19 : les hôpitaux de l’Outaouais suspendent les visites De nombreux experts de la santé sont de plus en plus préoccupés par la lenteur de la livraison de la troisième dose, ou dose de rappel, à travers le pays, a rapporté vendredi le Globe and Mail. Les deux premières doses du vaccin COVID-19 ne fourniront pas une protection adéquate à long terme contre la variante Omicron. Selon le Service de santé publique du Canada, seulement 47 % de la population et 57 % des personnes âgées de 18 ans et plus ont reçu le vaccin de rappel jusqu’à présent. Un volume croissant de recherches montre que trois doses de vaccin sont nécessaires pour fournir une protection adéquate contre Omicron. Cette semaine, Santé Canada a signalé que près de 1,5 million de vaccins contre la COVID-19 sont périmés depuis janvier, ce qui indique que la consommation de vaccins a considérablement diminué. La question des doses de rappel est cruciale car la variante prédominante d’Omicron peut échapper à l’effet protecteur de deux doses de vaccins à ARN messager disponibles, en particulier chez les individus les plus vulnérables. Bien que les troisième et quatrième doses, ou doses de rappel, n’empêchent pas toujours les personnes d’être infectées, elles fonctionnent bien pour prévenir l’hospitalisation et la mort. Aux États-Unis, une étude publiée dans le British Medical Journal en mars a révélé que deux doses d’un vaccin à ARNm n’étaient efficaces qu’à 65 % pour prévenir les maladies liées à l’Omicron chez les personnes de 18 ans et plus. Pour ceux qui ont reçu trois doses, l’efficacité de la prévention hospitalière est passée à 86 %.