Posté à 10h14
                SIMON CARMICHAEL Le Soleil.             

« Cohérence », dit Danik O’Connor, directeur de la stratégie de Vivre en Gaspésie. Depuis 2003, l’homme de Gaspé œuvre dans le domaine du développement régional. En 1998, dès la fin de ses études à l’Université Laval, il retourne dans sa ville natale de la Gaspésie. “J’étais vraiment marginalisé pour revenir”, reconnaît-il. « À ce moment-là, tout le monde partait. Selon l’Institut de la statistique du Québec, au début des années 2000, la Gaspésie perdait environ 1 200 habitants par année au profit d’autres régions. “C’était presque un village qui partait”, explique Gaspésien. « Et un jeune village. »