Reconstruction de Notre Dame en cinq ans dans le respect des limites de la science et de l’archéologie préventive. Ces deux vérifications, à première vue contradictoires, sont, selon les archéologues de l’Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap), tout à fait compatibles. “La reconstruction et le savoir-faire scientifique font partie intégrante d’un travail de restauration”, explique Dorothée Chaoui-Derieux, conservatrice du Service régional d’archéologie d’Ile-de-France. Nous travaillons certes dans un contexte particulier, avec une pression très forte, mais les fouilles sont nécessaires si nous voulons préserver et comprendre ce patrimoine. » “Il y a peut-être eu des discussions assez tendues qui ont duré jusque tard dans la nuit”, reconnaît Dominique Garcia, président de l’INRAP. Mais globalement, on a réussi à trouver un équilibre qui a fonctionné. » Des archéologues, qui investissent la cathédrale depuis le 16 avril 2019, ont révélé…

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