Dauphin d’Emmanuel Macron, le candidat du Rassemblement national Marin Le Pen n’a jamais été aussi près d’accéder à l’Elysée. De nombreuses organisations ainsi que des syndicats, dont la Société des droits de l’homme (LDH), la CGT ou encore le Syndicat de la justice, ont donc décidé de se mobiliser “pour combattre l’extrême droite”. Des rassemblements ont été annoncés principalement à Nantes, en Loire-Atlantique ou encore à Niort dans les Deux-Sèvres. #Protest | Rendez-vous le 16 avril dans les rues de toute la France et à 14h. à la place de la Nation à Paris : contre l’extrême droite et ses idées, pas Marin Le Pen à l’Elysée ! ➤ pic.twitter.com/7Khpw3b2ev — LDH France (@LDH_Fr) 15 avril 2022 A Paris, point central de la mobilisation, la marche s’élancera à 14h00 de la place de la Nation, en direction de la place de La République. Les organisateurs de ces rassemblements ont expliqué, par le biais d’un communiqué publié sur le site de l’Association des droits de l’homme (LDH) qu’”en rejetant Marin Le Pen, il s’agit d’empêcher l’arrivée d’un projet de société qui détruit l’Etat de droit”. , la démocratie, le social et la démocratie que nous défendons chaque jour”. “Il s’agit, ont-ils ajouté, de dénoncer le programme trompeur qui frapperait durement les plus faibles, les plus pauvres, les femmes, les LGBTI ou les étrangers.” Si à la veille de la mobilisation aucun membre de la Coalition nationale n’avait réagi explicitement, le candidat Marin Le Pen, en déplacement ce vendredi à Pertuis dans le Vaucluse, a néanmoins tenu à répondre aux différentes attaques qui en font l’objet. “N’écoutez pas mes adversaires qui se moquent de mon travail”, a-t-il déclaré à la presse.