Si au début du conflit, Emmanuel Macron s’entretenait régulièrement au téléphone avec Vladimir Poutine, les deux hommes ne se sont plus parlé depuis le 28 mai. Dmitry Peskov, le secrétaire du président russe a expliqué ce vendredi : “Eh bien, tout d’abord, la France est un Etat hostile en termes d’actions qu’elle mène pour notre pays.” Il considère alors que pour l’instant il n’est pas “nécessaire” que les deux chefs d’Etat communiquent. “Ils ne s’appellent pas parce qu’ils pensent que ce n’est pas le bon moment et que ce n’est pas nécessaire pour le moment. Si le besoin s’en fait sentir, ils peuvent s’appeler en une minute.” Le dialogue ne semble pas complètement rompu.
Ces pays « hostiles » à la Russie
Parlant de “pays hostiles”, la Russie a publié vendredi un décret interdisant aux investisseurs des pays “inamicaux” de vendre leurs participations dans des projets ou des banques liés à l’énergie jusqu’à la fin de l’année.
