Article écrit par Publié le 15/04/2022 12:35 Mis à jour le 15/04/2022 12:46
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Changement de stratégie. Les Insoumis proposent à Europe Ecologie-Les Verts (EELV), le Parti communiste français (PCF) et le Nouveau parti anticapitaliste (NPA) de former une coalition pour les élections législatives, sur la base d’un “agenda commun commun” établi “par” Jean -Luc Mélenchon, en trois lettres publiées le vendredi 15 avril.

Présidentielle 2022 : suivez les dernières informations dans notre direct Les « révolutionnaires », qui n’envoyaient pas leur correspondance au Parti socialiste ni à Lutte ouvrière, proposaient à leurs rivaux de gauche d’adhérer à une étiquette commune, celle d’Union populaire, afin de construire « une majorité politique à l’Assemblée nationale ». “. S’appuyant sur 21,95 % des suffrages réunis pour le candidat à la présidentielle Jean-Luc Mélenchon, ils estiment que le socle de cette majorité « devrait être un programme commun commun. Il serait établi par celui qui aura recueilli le plus de voix. à l’élection présidentielle : « L’avenir ensemble », chacun maintient son programme d’ailleurs. Mais dans l’action législative il servira de référence pour les votes qui seront donnés”. Ils suggèrent que les écologistes et les communistes se réunissent pour discuter, notamment, “de la mise en place d’un nouveau Parlement, comme le Parlement de l’Union populaire” et “de l’étiquetage commun des candidats aux élections législatives”. Avec les communistes et les écologistes, Insumi souligne que « leur relation s’est sensiblement détériorée durant cette campagne », à la suite « d’accusations souvent néfastes et [les] “Par conséquent, un règlement de dernière minute pour de simples préoccupations de sauvetage électoral serait mal compris”, ont-ils déclaré, exhortant les écologistes et les communistes à s’engager à “arrêter les attaques” et à “expliquer aux électeurs”. Partager: Partager sur Twitter Partager sur Facebook Partager par e-mail Partager un lien