Le travail d’identification a été mené conjointement par les services de l’Office français de la biodiversité (OFB) et de la Direction départementale de la protection des populations (DDPP). “Son état de santé est en cours d’évaluation afin de prendre les mesures appropriées pour optimiser ses chances de survie”, ajoute le communiqué, qui précise que “des individus se promènent dans les eaux plus au sud”, qui peuvent “survivre temporairement en eau douce”. La préfecture demande à la population de ne pas se déplacer sur le site ni tenter d’approcher le béluga afin “de ne pas stresser l’animal lors de la phase de collecte d’informations”. Il rappelle que les organismes étatiques “se mobilisent pour préserver la faune sauvage et poursuivre le suivi continu de la population”. L’ONG Sea Shepherd est plutôt inquiète pour l’avenir du béluga et craint que la “fin tragique” de l’orque dans la Seine ne se répète. Après Sedna, l’orque qui a connu une fin tragique en juin dernier, c’est un béluga qui a coulé dans la Seine.… https://t.co/AXfWXY2plB — SeaShepherdFran (@Sea Shepherd France)
Début juin, un orque avait été repéré dans la Seine entre Rouen et Le Havre. L’animal a finalement été retrouvé mort et une autopsie a conclu qu’il s’agissait d’une mort de faim. Lire aussi : Article destiné à nos abonnés Orque de Seine : la balle retrouvée dans le crâne du cétacé n’aurait pas été la cause directe de sa mort
Le monde avec l’AFP