Envoyé spécial à Lauris et Pertuis (Vaucluse) Au pied de Notre Dame, Marin Le Pen allume une bougie dans l’espace Notre Dame de Paris. Dans les hauteurs de la ville ensoleillée de Lauris, dans le Vaucluse, le candidat approche de la fin de cette première semaine entre deux tours. Cinq jours durant lesquels la dirigeante de la Coalition nationale aura vu tous les vieux démons de la “diabolisation” se dresser contre elle. Discours publics et tribunes appelant à voter contre « l’extrême droite » se sont succédé. Polémique sur ses relations avec la presse, son indulgence envers la Russie ou encore l’expulsion musclée d’un militant écologiste d’une de ses conférences de presse également. “La barbarie envers moi est proportionnelle à mes chances de gagner, de perdre le finaliste de la présidence. Nous avons la capacité de laisser un système au pouvoir pendant trente ans. Il est normal de se protéger pour essayer de se perpétuer. Lire aussiJérôme Sainte-Marie : “La base sociologique de Marin Le Pen est devenue très forte” Le candidat …

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