Publié il y a 3 heures, Mis à jour il y a 3 minutes Le RN se réjouit de ces arrivées. BERTRAN GUY / AFP HISTORIQUE – Parmi les 300 partenaires que RN allait recruter, les dix premiers venaient de LR et UDI. D’autres arrivages similaires sont attendus jusqu’à fin août. Après la défaite de son patron, il avait d’abord choisi de quitter l’Assemblée. Mais Charles Herbach, l’ancien partenaire parlementaire du député UDI Anies Thiel, a changé d’avis. “Au lendemain du second tour, j’ai reçu un certain nombre de propositions de députés RN”, raconte-t-il, surpris de voir autant de représentants du parti de Marine Le Pen entrer dans la salle. “Je trouvais intellectuellement intéressant d’accompagner la création d’un nouveau groupe parlementaire”, explique la jeune associée, qui travaille aujourd’hui pour l’élue RN Caroline Colombier. Lire aussi Le paradoxe de l’opposition « constructive » du Rassemblement national Même parcours – à une fête près – pour Corentin Fagot. Ancienne assistante parlementaire de Laurence Trastour-Isnart, députée Les Républicains (LR) des Alpes-Maritimes, désormais assistante de l’élue lepéniste Caroline Parmentier. “J’étais persuadé que le RN pouvait apporter les solutions nécessaires aux défis actuels de la France”, explique le suiveur de l’ancien attaché de presse de Marine…

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