“Lundi, la hausse des températures se poursuit et atteint la moitié nord : on s’attend à 35°C à 37°C du sud-ouest au sud-est et 30°C à 34°C plus au nord, sauf pour une petite partie de le nord-ouest qui reste en dessous de 30 °C », selon Météo-France. « Des températures maximales comprises entre 32 °C et 36 °C pourraient probablement persister dans une grande partie du pays. » 📈 Après un rafraîchissement du nord-ouest du pays ce week-end, la T°C remonte dimanche dans le sud-ouest et gagne la moitié nord lundi. ▶️https://t.co/qfPDYkj08J▶️https://t.co/MEN0OeirG5 — Météo-France (@meteofrance) 5 août 2022 L’accès à ce contenu a été bloqué pour respecter votre choix de consentement En cliquant sur ” J’ACCEPTE “, vous acceptez le dépôt de cookies par des services externes et ainsi vous aurez accès aux contenus de nos partenaires J’ACCEPTE
Et pour récompenser au mieux les 20 minutes, n’hésitez pas à accepter tous les cookies, même pour une seule journée, via le bouton “J’accepte pour aujourd’hui” dans le bandeau ci-dessous. Plus d’informations sur la page Politique de gestion des cookies. Pour l’instant, “l’incertitude demeure” quant à savoir si ces évolutions doivent être considérées comme une “interruption” de la “troisième canicule de l’été”, qui a débuté le 31 juillet, explique le service météo : “Au niveau national, elle pourrait se terminer en début de week-end grâce à une baisse de température dans les trois quarts du pays ou continuer.”

Le déficit pluviométrique s’aggrave

Mais les orages du week-end ne suffiront pas à compenser un déficit pluviométrique national historique en juillet, le deuxième mois le plus sec de l’année jamais enregistré. “Au niveau national, depuis le 17 juillet, la France établit chaque jour un nouveau record de sécheresse des sols (dans une histoire qui commence en août 1958)”, note Météo-France. En Corse, ce record journalier est battu tous les jours depuis début juillet et depuis mi-mai en PACA. “Cette situation est un événement important comparable aux sécheresses de 1976 et 2003”, soulignent les météorologues. « D’ici la mi-août, il est très probable que cette situation de sol sec s’aggravera encore dans un grand nombre de zones. »