Comme à chaque demi-finale, les trois duos encore en lice devaient s’affronter sur trois sprints. A la fin de chacune d’entre elles, le duo arrivé à la dernière place doit tirer une enveloppe. Parmi ceux-ci, un seul est exterminateur. De quoi réorganiser les cartes. Pourtant, les deux plus vieux encore en course n’ont pas été en reste, malgré la blessure au poignet de Karine et une concurrence féroce.
“Nous n’aurions pas dû être sur le Titanic avec lui”
Ainsi, dès le départ du premier sprint, l’influenceur Valentin Léonard n’a pas hésité à pointer ses rivaux dans la mauvaise direction. Et laissant une Valérie Trierweiler furieuse : « Il nous a laissé sortir le bâtard », « On n’aurait pas dû être sur le Titanic avec lui », « le bâtard »… Et au lieu d’une balade en kayak, les deux femmes ont pris le première enveloppe noire. Dans le deuxième match, cependant, ils ont réussi à se rattraper. Au point d’atteindre le sommet, à leur grande surprise. « Alors là, on ne s’y attendait pas ! s’exclama Karine. Et une revanche : leurs grandes rivales Inès Reg et Anaïs sont arrivées dernières. Mais le dernier match de cette demi-finale leur a été fatal. Un rébus les a trop retardés et les a fait échouer à la dernière place. Avec une seconde enveloppe noire, responsable de leur élimination. « Forcément, nous sommes déçus, a reconnu Valérie Trierweiler. Nous n’avons pas à avoir honte de notre voyage. » La finale de “Beijing Express : jumelles de choc” verra s’affronter deux couples amicaux. D’un côté, le couple formé par l’ancienne Miss France Rachel Legrain-Trapani et l’influenceur Valentin Léonard, candidats redoutables mais aux conflits multiples. De l’autre, Inès Reg et sa soeur. Deux jumeaux avec des liens solides mais désormais rivaux. Tant pour le bien que pour le mal.