« La production canadienne est susceptible d’être plus faible et nous sommes le 9e producteur en importance. L’un des plus grands est la Russie et personne ne va acheter chez eux. Ensuite, il y a l’Ukraine et nous connaissons leur situation. Il y aura une pénurie de pois chiches », explique Sylvain Charlebois du Laboratoire des sciences analytiques agroalimentaires de l’Université Dalhousie. Les effets dans plusieurs pays asiatiques et européens risquent d’être plus importants qu’ici, mais les effets de portefeuille se feront sentir chez les Canadiens. “Je ne pense pas qu’il y aura une pénurie au Canada, mais c’est certain qu’il faudra payer un peu plus”, explique notamment l’expert. Voici l’explication dans la vidéo ci-dessus.