• Lire aussi : Cigale : Beaucoup de sourires avec Kaleo Le groupe californien “Fitz and the Tantrums” qui vient d’arriver de Boston, où il jouait la veille, était l’une des têtes d’affiche de cette journée de festival. Le groupe, dont les airs rappellent un peu les chansons “Fun” du groupe, n’avait pas joué au Québec depuis qu’il avait accompagné One Republic au Centre Vidéotron en février 2017, et était visiblement heureux d’être de retour après toutes ces années. Le groupe, l’un des plus attendus, a réussi à rassembler une foule impressionnante près de la scène. Plutôt calme et prudent au début du spectacle, c’est vraiment à partir de “Help”, la neuvième chanson du numéro, que le public est devenu plus énergique et exalté. Le seul bémol du spectacle, une fois qu’on s’est un peu retiré du devant de la scène, on n’entendait plus la voix de la chanteuse Noelle Scaggs. Le spectateur devait s’approcher de la scène pour l’entendre. Marcel Tremblay/Agence QMI
Après une brève prestation de l’électricien montréalais Cri, c’est au tour d’un autre Californien, le coanimateur Andy Grammer, de monter sur scène pour la première fois en sol québécois. Karl-Érik Bilodeau / Festival Cigale
Lorsqu’il nous a présenté un slam sur les dix étapes de l’acceptation de soi, certains téléspectateurs sont restés un peu confus, mais au fur et à mesure de l’émission, le chanteur les a tous conquis un par un, avec des chansons tout aussi entraînantes et joyeuses. après l’autre. Mention plus qu’honorable au saxophoniste Tomoka Nomura pour la précision et le tempo impressionnant de son solo sur “Honey I’m Good”. L’équipe en est à sa première visite au Québec et sera loin de sa dernière foi en Andy Grammer, qui a assuré un retour. Changement radical d’énergie par rapport à la performance précédente d’Andy Grammar, c’est en compagnie d’un seul trompettiste, le Québécois Félix Cauchon, que l’Australien Kim Churchill est apparu sur scène. Photo gracieuseté de Karl-Érik Bilodeau / Festival Cigale
Chacune de ses chansons partageait une histoire, certaines plus émouvantes que d’autres, comme “Rosemary”, une histoire d’amour entre sa grand-mère à l’hôpital et le patient dans la chambre voisine. Il ne fait aucun doute que l’artiste né à Canberra semble avoir beaucoup apprécié sa visite au festival. Après un premier passage au pop-up show au pub Archibald mercredi et son apparition dimanche, le musicien a voulu faire plaisir à nouveau à la foule en allant les saluer au magasin de marchandise. Il est le seul artiste du festival à avoir pris cette initiative. Vivant dans la petite ville de Wassila, en Alaska, membres de l’équipe du Portugal. Les gens ont été rapidement sensibilisés aux réalités autochtones. Pour leur spectacle qui clôturait le festival Cigale, ils ont demandé à M. Raymond Gros-Louis de bénir ce spectacle afin que les gens aient de la bonne musique. Présentant l’un des rares spectacles de 2022, le duo ‘Milk and Bone’ de Laurence Lafond Beaulne et Camille Poliquin a su canaliser leur esprit contagieux de complicité, ce qui a fait que de nombreux spectateurs du bord de plage ont voulu se joindre à la fête devant le tente. Le groupe est en pause depuis 2020, préparant un nouvel album, “Chrysalism”, qui sortira le 28 octobre. Le premier single de ce projet, “Movies”, semblait être un favori du public, qui connaissait déjà les paroles par cœur. Marcel Tremblay/Agence QMI
Le ciel gris s’est vite fait oublier avec la musique dansante et colorée de Pierre Kwenders. Photo gracieuseté de Karl-Érik Bilodeau / Festival Cigale
Le musicien congolais basé à Montréal a interprété plusieurs morceaux de son album “José Louis And The Paradox Of Love”, sorti en avril dernier, et quelques-unes des chansons qui l’ont rendu célèbre comme “Sexus Plexus Nexus”. Tout au long de la représentation, les quatre premiers rangs du public ont dansé sur ses rythmes Afropop et ont supplié d’en avoir plus à la fin.